Projetfinancé
            
          
        
        
          
            
              par l'UE–DGEnvironnement
            
          
        
        
        
        
        
          Les coûts peuvent varier considérablement en fonction du type de mécanisme et
        
        
          de l'échelle. L'étude de cas à Los Arenales, Ségovie, fournit des informations sur les
        
        
          coûts liés à la restauration d'une zone d'infiltration de 3 ha dans les conditions de
        
        
          référence : 0,6 M€ (enquête et études) ; 0,4 M€ (prise d'eau) ; 2,5 M€ (transport)
        
        
          ; 0,9 M€ (chenal de recharge).
        
        
          C
        
        
          onception
        
        
          La conception sera considérablement variable en fonction du type de mécanisme
        
        
          utilisé pour la recharge ; ceci est à prendre à considération au cas par cas. En
        
        
          fonction du type d'entités d'infiltration et de la source de l'eau, un prétraite-
        
        
          ment peut être nécessaire pour
        
        
          
            empêcher la pollution
          
        
        
          d'atteindre les eaux
        
        
          souterraines.
        
        
          Ce type de mesure coïncide avec une série d'autres mesures offrant une infiltration
        
        
          aux eaux souterraines par divers moyens.
        
        
          É
        
        
          chelle
        
        
          La zone de drainage en amont peut être
        
        
          à n'importe quelle échelle, allant d'une
        
        
          simple parcelle à de grands bassins hy-
        
        
          drographiques supérieurs à 1 000 km2.
        
        
          La restauration de l'infiltration naturelle vers les eaux souterraines, également appelée « Recharge artificielle des eaux souterraines » dans la documentation
        
        
          d'ingénierie, peut inclure : (i)
        
        
          
            les structures de surface
          
        
        
          pour faciliter / augmenter la recharge (telles que des puits d'infiltration et des bassins d'infiltration)
        
        
          ; (ii)
        
        
          
            la recharge indirecte souterraine
          
        
        
          – la capacité d'infiltration est renforcée par des puits creusés au sein de la zone non saturée ; et (iii) la recharge
        
        
          directe souterraine – l'infiltration et la recharge des eaux souterraines de l'aquifère sont effectuées par des puits qui atteignent la zone saturée.
        
        
          
            Étudesdecas :Gestionde la rechargeaquifèredeLosArenales , àSégovie, enEspagne ;RechargeaquifèreàMalte
          
        
        
          
            HYDROMORPHOLOGIE
          
        
        
          Surface artificielle
        
        
          Terre agricole
        
        
          Zones forestières et
        
        
          semi-naturelles
        
        
          Zones humides
        
        
          S
        
        
          urfaceterrestreconcernée
        
        
          parlamiseenœuvre
        
        
          C
        
        
          oûtsfinanciers
        
        
          (I
        
        
          nvestissements
        
        
          ,
        
        
          exploitation
        
        
          &
        
        
          maintenance
        
        
          )
        
        
          ©
        
        
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